Bilan du mois de Mars 2011
Ce mois-ci, j'ai beaucoup lu dans le cadre de lectures communes et, ce, afin de m'avancer pour les mois à venir. J'ai également lu des romans qui honoraient mes challenges en cours.
« Un monde sans fin » de Ken Follett a largement phagocyté mon temps de lecture avec ces mille et quelques pages mais m’a permis de cloturer mon « Défi des mille » chez Daniel.
En mars j'ai lu 24 livres soit 7345 pages.
- Follett, Ken - Un monde sans fin
- Christie, Agatha - Le crime de l'Orient-Express
- Mishima, Yukio - Dojoji et autres nouvelles
- Stoker, Bram - L'enterrement des rats et autres nouvelles
- Auster Paul - Invisible
- Lindsay,Jeff - Ce cher Dexter
- De La Cruz, Melissa - Les Vampires de Manhattan
- Djian, Phillipe - Ardoise
- Lindsay, Jeff - Dexter, 2, Dexter revient !
- Thuy, Kim - Ru
- Kundera, Milan - L'Insoutenable légéreté de l'être
- Armstrong, Kelley -Femmes de l'Autremonde, 1, Morsure
- Conan Doyle, Arthur - Le chien des Baskerville
- Khadra, Yasmina - Les hirondelles de Kaboul
- Lehane, Dennis - Shutter Island
- Frost, Jeaniene - Chasseuse de la nuit, T3, Froid comme la tombe
- Mead, Richelle - Vampire Academy, 3, Baiser de l'ombre
- L'Homme, Erik - A comme association, 1, La pâle lumière des ténèbres
- Rowling, JK. - Les contes de Beedle Le Barde
- Colfer, Eoin - Artemis Fowl, 1.
- King, Stephen - Shining
- Higgins Clark, Mary - Nous n'irons plus au bois
- Ólafsdóttir, Audur Ava - Rosa Candida
- Teulé, Jean - Charly 9
Des thrillers, de la bit-lit, de la fantasy, des drames, des essais et des recueils de nouvelles furent au programme de ce mois de mars riche en diversité.
C’est après « Le crime de l’Orient-Express » commis par « Ce cher Dexter », pendant que j'assistais à un « Dojoji » où se donnaient à entendre « Les contes de Beedle Le Barde », qu’à « L’enterrement des rats » organisé par les « Vampires de Manhattan » dans « La pâle lumière des ténèbres » que déposant une «Rosa Candida» sur la tombe de « Charly 9 » , « Le chien des Baskerville », tenu en laisse par « Artemis Fowl », m’a fait tâter de sa « Morsure », et son « Baiser de l’ombre » était « Froid comme la tombe ». J’ai baigné ma blessure dans le « Ru » tumultueux qui entoure les côtes abruptes et déchiquetées de « Shutter Island ». C'est du haut d'une falaise que j’ai vu s’envoler « Les hirondelles de Kaboul » pressées d’arriver chez Pimprenelle afin d’honorer le rendez-vous consacré à Yasmina Khadra le 26 mars.
Et j’ai cru que « L’Insoutenable légèreté de l’être », ce qu'on appelle aussi parfois le « Shining » me permettrait d’effacer mon « Ardoise » et de m’envoler jusqu’à devenir « Invisible » aux yeux des autres. Et si « Dexter revient ! » il ne trouvera alors qu'« Un monde sans fin » où « Nous n’irons plus au bois ». 